Les textes en rouge ont été extraits
du site de F. Henry-Couannier le 14/12/2008 En noir le texte initial sur bastison.net En bleu mes commentaires… Le dénigrement
des personnes Pas la peine de se la jouer... Le Secret n'est devenu de polichinelle qu'après
avoir été éventé bien sûr sinon il n'y aurait pas eu de secret du tout !
Apparemment les internautes sont de meilleurs
'chercheurs' (sur le net au moins) que F. H.-C. puisque eux avaient
mes initiales au bout de 48 h : vous pourrez le vérifier sur le
site conspiracywatch.com. Etant propriétaire
du site mon identité était publique. C'était donc tout sauf un
secret. Ci-après des dizaines de torche-culs sont référencé… Ce n'est pas le support d'une prose qui
en assure la valeur: voir mes propres analyses que je suis fier de ne
pas avoir soumises au système féodal des revues à referee… Ces arguments sont d'un niveau consternant...
(mieux vaut en rire!) ...pour mieux les reprendre à son compte
48 heures après !! je ne sais pas ce qui est le plus consternant
là dedans : le dénigrement ou
le virage à 180° ? Ce n'est pas l'étiquette de celui qui la défend
qui est garante de la valeur d'une argumentation ! j'accorde
pour ma part beaucoup plus de poids à 118 témoignages de pompiers et
secouristes parfaitement concordants qu'à une analyse d'experts ayant
pignon sur rue, souvent arrivistes et carrieristes
donc si faciles à corrompre! Je
pourrais être d’accord sur le début, mais la fin part en sucette… Le dénigrement
des arguments qui gênent ou nuisent à la cause…. A propos du type de
béton utilisé … Détails insignifiants… Incroyable mais vrai : si ça avait été du sable ça aurait donc
été pareil ??? A propos de l'énergie nécessaire
pour la rupture des colonnes... Inutile de s'interesser
à la ruine des colonnes , sujet qui ne peut
que disperser inutilement l'attention avec des complications de calcul
inutiles L'amorce de l'effondrement a été très simple : les colonnes
sont entrées en flambement aidées en cela par les planchers qui subissaient
de fortes déformations en raison de la surcharge due au poids de l'avion
et des planchers supérieurs détruits par l'impact. Le phénomène est parfaitement visible sur les photos
et vidéos : Le phénomène est tout à
fait réel mais aucune preuve que l'incendie et les dégats
dus aux avions soient les vrais responsables C’est donc la thermate
qui aurait mis en état de flambement les colonnes ? Elle
a vraiment toutes les qualités cette thermate !! Savoir si oui ou non l'effondrement doit se
poursuivre est encore une fois un problème mineur, une diversion… Ben voyons L’apprentissage
de la mécanique des structures et des matériaux par F. H.-C. Pour les événements du 11/9 l'expertise necessaire s'acquiert facilement et rapidement sur le tas
dès lors que l'on possède un bagage de physique générale Le
calcul de structure est complètement inutile pour établir la preuve
de la démolition explosive...les rares calculs utiles sont d'une simplicité déconcertante. J'ai vérifié quasiment tout ce qu'il m'était
possible de vérifier et sans aucune nécessité d'effectuer le moindre
calcul de structure j'affirme et peut démontrer que les preuves sont
accablantes...et qu'un certain nombre d'entre elles qui peuvent être
comprises facilement par l'homme de la rue sont suffisamment convainquantes. En tant que physicien je suis allé plus loin
afin d'avoir une comprehension aussi fine
que possible du plan de destruction de ces tours tout comme de nombreux
scientifiques et ingénieurs. Parlons-en… Je n’ai jamais vu ces ratios de 50 et 20 %...
en même temps (s’ils sont confirmés) ils sont très intéressants
car ils montrent que le coefficient de sécurité global n’était que de
l’ordre de 2,5 ce qui est extrêmement faible et justifierait
d’autant plus la chute rapide des tours !!! Petite remarque : l’usage de « coefficients
de sécurité » est un peu obsolète de nos jours avec les règlements
semi-probabilistes, mais cela permet de fixer quelques ordres de grandeur… L'epaisseur de l'acier
permet aussi à la chaleur de se dissiper dans l'ensemble de la structure :
et donc limite considérablement la température atteinte : au WTC 700°
max de l'acier pour un feu à son max de 1100°C. Comme le feu
se propage d'une zone à l'autre au fur et à mesure qu'il consume et
rencontre du nouveau combustible, il n'est pas sensé atteindre son maximum
partout en même temps et donc toutes les poutres ne sont pas sensées
atteindre le max de température en même temps ce qui doit permettre
aux poutres encore à basse température ou refroidies après le passage
du pic du feu de reprendre la charge de celles qui soumises aux plus
hautes températures ont perdu leur résistance. VRAI et comme les protections incendies sont
intactes dans les étages en dessous, cela veut dire que la chaleur s’accumule
aussi dans l’acier des étages inférieurs sans trop pouvoir s’échapper,
comme dans un thermos… C’est donc un argument qu’il vaut mieux oublier
pour les conspirationnistes ! Il est certain en tout cas que si la réponse
pouvait être obtenue avec un papier et un crayon comme le pretend
l'auteur de bastison.net alors le NIST et son rapport de plus de dix
mille pages sont complètement ridiculisés. Je n'ai jamais écrit cela !!! C'est
F. H.-C. qui affirme, lui, que le calcul de structures est enfantin ! (voir
plus haut …) Par ailleurs la pulvérisation totale du béton
à 100 microns est une impossibilité physique. Savez
vous ce que représentent
100 Joules: c'est l'énergie d'une masse de 10 kilos qui tombe d'un mètre
de haut. Cette énergie est donc sensée, si j'ai bien compris pouvoir
fracturer en deux un bloc de béton sur une section de Tout cela confirme bien que l'énergie mécanique
doit être délivrée de façon idéale (contraintes d'allongement longitudinal)
pour être efficacement utilisée à fracturer. dans
tous les cas précédemment évoqués des pertes importantes sous forme
de chaleur et des faibles rendement sont à prévoir. Il sera parfaitement
stupide ou de la tromperie délibérée de ne pas tenir compte de ces très
faibles rendements! Cela
montre que les résistances en traction de la matrice (les
granulats) ou du liant (le ciment) sont de valeur équivalente.
Non démontré et d'ailleurs ca m'étonnerait beaucoup Et bien c’est exactement ce genre de test
qui est utilisé depuis des années, comme celui inventé par G.
Charpy (test
du mouton)… Evidemment, pour ceux qui n’ont aucune connaissance
sur les propriétés du matériau béton, cela peut surprendre… Mais des
personnes ont consacré leur carrière de chercheur à ce genre de recherche,
et ce, bien avant que les WTC1 et 2 ne s’effondrent.
Je tiens les articles à disposition Mais
F. H-C va sûrement nous proposer une nouvelle et très intéressante
théorie sur la résistance des matériaux… La puissance electrique
de la perceuse est convertie en puissance mécanique avec un bon rendement.
Par contre la puissance mécanique Bien évidemment puisqu’on a beaucoup de frottement
au niveau de la mèche…. C’est beaucoup moins vrai lors d’un impact !! C’est faux pour la perceuse : au niveau de la pointe
de la mèche, on a de la compression (percussion) et du cisaillement
(rotation) et c’est pour cela qu’elle est extrêmement peu efficace !!
C’est même le plus mauvais outil qui soit pour faire de la poussière
de béton…le nouvel expert en mécanique des matériaux F. H.-C. devrait
pourtant le savoir ! A petite echelle
on est obligé de pulvériser des cailloux alors qu'à grande échelle on
est juste obligé de les décoller du liant: celui qui me fera croire
que cela n'induit pas une énergie de fracturation moyenne plus grande
à petite échelle n'est pas encore né ! Méconnaissance évidente du matériau béton,
mais on continue à vouloir donner des leçons ! Je conseille la lecture
des articles de Roselo, entre-autres. Les images ne parlent pas d'elles mêmes:
d'autres immeubles ont subi des incendies plus violents et sur une beaucoup
plus longue durée qu'WTC et ne se sont pas effondrés! le Kérozène n'a pas contribué significativement
à chauffer la structure (NIST) Aucun gratte-ciel ne s'est jamais effondré
à cause d'un incendie de quelque durée que ce soit...alors à quoi conclure
que l'echeance ne pouvait être que retardée. Le bâtiment en proie aux flammes sur plusieurs étages,
la structure ne pouvait plus résister très longtemps. Aucun
gratte-ciel ne s'est jamais effondré à cause d'un incendie de quelque
durée que ce soit...alors à quoi conclure que la structure ne
pouvait plus résister très longtemps Les pompiers sont donc sortis en raison des risques d'effondrement
: c'est eux-mêmes qui le racontaient en quittant le building... Rien de comparable en tout cas entre les photos
des incendies de WTC7 et les exemples historiques de gratte ciels enflammés
qui ne se sont pas effondrés! Cependant il faut savoir que la structure du
coeur est un point sur lequel règne la plus
grande confusion pour la bonne et simple raison que les plans officiels
n'ont pas été publiés La
comparaison n'est pas indispensable à la démonstration puisque Gage
presente beaucoup d'autres exemples qui montrent
bien que des gratte-ciels à structure d'acier ne se sont
jamais effondrés à cause d'un incendie de quelque durée que ce soit!
...Malheureusement le calcul
de structure est une compétence assez inutile (…) lorsque les témoignages
d'explosions sont multiples
Ben voyons, c’est l’homme qui a vu l’homme,
qui a vu l’homme, qui a vu l’ours !!
La thermate ?
On s’y perd !! ...La thermite étant un facilitateur et un accélérateur de fonte de l'acier. Pas un facilitateur ni un accélérateur !L'acier ne pouvait tout simplement pas fondre au WTC sans thermite. ...On peut découper à la thermate sous n'importe quel angle en 1/10 seconde grace à l' invention présentée dans mon slide 225
Les
Thermobariques : la solution à tous vos
problèmes…
...Le but était
de produire le traumatisme maximum sur la population (pour justifier
la guerre, le Patriot Act ) , d'aboutir à un champ de ruine le plus circonscrit possible
(un effondrement livré à lui même aurait conduit à un basculement d'une
partie des tours dans New York) que l'on puisse boucler et qui permettrait
de contrôler l'accès à des éléments compromettants (boites noires, preuves
d'utilisation de thermate etc).
L'objectif était aussi probablement d'éliminer toutes sortes d'opposants,
rivaux, contestataires en s'assurant de leur présence dans les tours
le jour J: c'est un coup d'état du même type que l'incendie du Reichtag. ...C'est la technologie militaire des thermobariques qui a permis de rendre le plan réalisable et
aussi sûr que possible. Il était tout à fait impossible de placer des
charges sur les colonnes exterieures inaccessibles.
Il a fallu donc les souffler à distance ce que seul un explosif de type
fuel air permet. Aucune trace chimique avec des thermobariques à hydrogène. pas de
boule de feu non feu. Nombre minimal de bombes à installer par un petit
nombre de militaires entrainés le week end
avant le 11/9. Enjeu stratégique et géopolitique colossal justifiant
la prise de risque minime compte tenu du fait que les médias sont parfaitement
contrôlés et que des lois liberticides au nom de la lutte anti-terroriste
sont prêtes pour rentrer en application juste
après le 11/9: le Patriot Act!... La réponse plus haut!
les pulses de thermobariques
sont prolongés et nettement moins piqués que ceux des explosifs conventionnels:
effet de grondement continu d'explosions! Sans
commentaire.
Le pentagone… Les anomalies absolues
concernant le Pentagone sont: - Manoeuvre impossible
pour un débutant (les instructeurs de vol eux mêmes s'en déclarent incapables) - L'avion ne pouvait espérer atteindre le Pentagone
sans un signal de transpondeur ami. Le Pentagone possède trois systèmes
de défense dont un tir de missiles sol air. D Cheney savait que l'avion
approchait du Pentagone. Pourquoi bastison.net n'en parle pas ? Voilà F. H-C maintenant expert en pilotage d’avion de ligne !!…
A lire : le témoignage d’un pilote expérimenté
dans la rubrique Pentagone de bastison.net. Divers
Apparemment n’a pas bien lu… je disais qu’entre
accuser des personnes de meurtre (sans preuve) et ma dénonciation
des approximations scientifiques des « truthers »
il y avait une sacrée différence. Et bien je n’y fais pas référence car justement,
je lis attentivement F. H.-C. quand il écrit : Le nouveau rapport du NIST est une nouvelle
arme de tromperie massive mise hors d'état de nuire dans www.darksideofgravity.com/pptAE911.pdf
avec références incluses. Tous ces scénarios bidons
d'effondrement par le feu ne devraient même pas être envisagés. Ce qui est bizarre, c’est que F. H.-C., lui, y pioche allègrement,
mais uniquement quand ça lui va bien : Le Kérozène a brûlé
trop rapidement pour contribuer efficacement à chauffer la structure
(NIST)… ces dégats sont minimes
et ne menacaient que de façon négligeable
l'intégrité des tours qui pouvaient encore soutenir plusieurs fois leur
charge. les dégats
visibles sont donc en réalité minimes (pour l'intégrité globale de la
structure) selon les simulations les plus détaillées à ce jour et comme
l'admet le NIST… Au bout de deux heures d'incendie, il est donc probable
que la température de l'air ambiant est située entre 900 et 1000°C. pic de 1100°C atteint sur 15 minutes selon le NIST (simulation tres
détaillées)… Or, nous avons vu qu'avec le souffle de l'explosion et
des débris de l'avion, les protections incendie sur les colonnes avaient
énormément souffert. Résultat, certaines colonnes en acier sont à nu
et dans une atmosphère à 950
°C, l'acier monte alors en température aux alentours
de 750 ° (température ambiante - 200 °C)... plutôt 700°C et certaines colonnes
seulement… * Le déséquilibre créé par la rupture de certains éléments
entraîne un rééquilibrage des charges : ce rééquilibrage est irrégulier,
mais les colonnes situées près de celles rompues reprennent facilement
30 à 40 % de plus qu'au départ... Faible impact selon le NIST…. * La rupture partielle d'au moins un plancher fait qu'il
n'y plus de stabilisation latérale vis à vis du flambement : la longueur
de flambement est multipliée par 2 donc la force critique d'Euler divisée
par 4. Si deux planchers sont détruits, elle est divisée par 9... Faible impact selon le NIST… * A une température de 720°C, l'acier a perdu
80 % de sa rigidité. La force critique d'Euler est donc encore divisée
par 5 environ... * Enfin, une dilatation thermique non homogène à l'étage,
c'est le cas avec le feu le plus violent orienté au Sud Est, peut engendrer
localement des contraintes supplémentaires. Les dégats selon
le NIST lui même ont contribué pour très peu à l'effondrement, le feu
serait selon le rapport officiel le vrai responsable…
Ça dépend pour qui !!! |